Alors qu’il grêle sur Marseille, tous les P1 sont en train de travailler. Tous ? Non, un petit P1 Marseillais résiste à la pression et se met devant son ordinateur pour raconter ses malheurs. (Le temps s’y prêtant, le ton de cet article est triste et solennel comme le sont les discours de compassion des hommes politiques)