Je sais que j’ai quelques articles en retard. Je dois notamment vous écrire l’analyse du programme du deuxième quadrimestre de la PACES à Marseille, la suite de mon concours, des dessins, un bilan annuel… Fiou, elle est dure la vie d’artiste.
Mais là ce soir j’ai pas vraiment l’envie de faire l’analyse du programme ni de vous raconter mon concours… encore moins de faire un dessin (j’ai encore quelques progrès à faire d’ailleurs). Alors je vais vous raconter un peu comment se passent mes vacances.
Il était une fois… moi une minute après la fin du concours. Un grand souffle de soulagement s’échappa de ma bouche alors que les correcteurs reprenaient ma copie. Copie qui, soit dit en passant, décidera de mon avenir dans la médecine. Alors OUI, j’étais en vacances. Je suis toujours en vacances d’ailleurs. Et pour tout vous dire… j’aime bien. Je pense que ce mois de vacances va être assez traitre (pour se remettre dans le bain pour la rentrée tout ça), mais j’aime bien quand même.
Ce que j’aime dans les vacances, c’est pouvoir se coucher à n’importe quelle heure pour se lever à 14h et déjeuner de bonnes tartines d’une célèbre pâte à tartiner. Rester sous la couette et ne jamais entendre le réveil (ou alors c’est vraiment une heure de réglage). Les vacances c’est aussi sortir de temps en temps, voir d’autres gens, faire des rencontres. C’est aussi voir sa famille que l’on n’a pas vu depuis pas mal de temps.
Mais les vacances c’est aussi du moins drôle. C’est rattraper son devoir administratif envers divers organismes. Ou encore ranger ce qu’on a mis en désordre pendant 3 mois… les cours, les fringues, etc. C’est aussi la petite amie qui vous largue.
Mais après tout, c’est les vacances et quand j’écris cette note, il ne reste que quelques jours avant le reprise. Vous allez me dire « Oé QUE quelques jours, nous on n’a pas de vacances tout ça ». Bah oui, tant pis pour vous que voulez-vous. Il fallait aller en médecine, c’est tellement bien !
Et puis il y a eu Noël. Noël ou comment faire 500 km en 3 jours, dormir par terre sur un matelas entre les poils de chat, de chien et la poussière à 5 dans 9m². C’est aussi ça l’esprit de Noël ! Evidemment il y a les cadeaux que l’on reçoit, mais il y a aussi ceux qu’on offre.
A ce moment là du billet, je souhaiterais vous faire part d’un grand malheur dans ma vie : l’emballage de cadeau. Alors je sais pas vous (je sais que des gens y arrivent très bien), mais pour moi c’est mission impossible ! Déjà, rien que pour prendre la bonne taille de papier et le découper… Bien entendu, le papier cadeau est sous forme de rouleau et quand on le déroule, ce papier n’a qu’un but dans sa vie : s’enrouler de nouveau. Alors tu prends tes ciseaux, tu découpes et faisant glisser les deux lames autour de papier… mais ça coupe pas droit, parce que ce putain de papier est enroulé ! Alors au lieu de te retrouver avec un carré, un rectangle ou toute autre forme géométrique ayant des angles droits, tu as une espace de forme base de trigonométrie… Le truc c’est qu’avec ça, il faut que tu l’emballes ton cadeau ! Alors je vous explique pas les rouleaux de scotch qui y passent et la gueule du paquet une fois terminé ! Tout ça pour que le papier soit irrespectueusement déchiré par les mains innocentes de tes frangins…
Voilà, ça c’est dit. Bon sinon sachez que j’ai eu un Larousse Médical de 1952 dont je suis assez fier, un Vidal de 2001 (intéressant comme bouquin) de beaux gants et des sous. J’ai été assez gâté à vrai dire.
Enfin voilà ce que j’avais de beau à vous raconter. Je vous laisse donc avec cette note le temps que je me motive à rédiger les autres. Je vous souhaite une bonne fin de soirée, un joyeux Noël et une bonne fin d’année (j’aurai l’occasion de vous le redire).
PS: article non relu parce qu’il y a Pirate des Caraïbes à la télé =D
Je te donnerai des cours d’emballage de cadeaux :)
admin Réponse:
décembre 28th, 2010 à 22 h 35 min
Je veux bien pour le coup ^^